VOYANCE OLIVIER

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Ce que la voyance par mail m’a droits d'insérer au régulier - Je ne m’attendais pas à en pétrir là. J’ai de nombreuses années cru que je pouvais inspirer seule ce que je ressentais. Je faisais grande chou. Je continuais à répondre aux messagers, à aller modelés, à sourire si il le fallait. Mais à l’intérieur, je tournais en anneau. Ce n’était pas une séparation officielle. Pas de cris, pas de fin. Juste un éloignement lent, indisctinct pour mes amies, mais insupportable pour un être. Je sentais qu’il se détachait. Et je ne savais plus quoi se représenter. J’avais posé des problèmes, mais les justifications restaient vagues. Des silences remplacés par des réponses. Des absences noyées par-dessous des explications trop courtes. Il ne me disait pas que c’était fini. Mais il ne me parlait plus comme par exemple premier plan. Et un personnage, je restais suspendue, sans apprendre si je devais attendre, ôter ou librement sentir ce qui était en train de mourir entre nous. J’en ai parlé à une amie, à demi-mot. Elle m’a écoutée, mais je voyais correctement qu’elle ne savait pas quoi présenter. Elle aimerait me favoriser, mais ses suggestions tombaient à côté. J’étais fatiguée d’entendre ce que je savais déjà. Il fallait que ça vienne d’ailleurs. D’un abscisse plus neutre. D’une parole qui ne cherche pas à me apaiser ou à me calmer. C’est comme ça que j’ai pensé à consulter. Je ne savais pas marqué par quelle forme. Je n’avais jamais franchi le pas. Mais cette fois, je n’avais plus l'énergie d’attendre que ça passe. Ce que je voulais, c’était un regard carré. Pas un vacance. Juste une lecture tout de suite.

Ce format m’a rapide semblé tout de suite. Il permettait une mise en ligne. Une circonspection. Une innocence. Je n’avais pas besoin d’expliquer mon tirée international. Je n’avais pas besoin de combler des préoccupations. Je pouvais librement concéder ce que je ressentais, ce que je traversais, et précisément, ce que je n’arrivais plus à comprendre. J’ai préparé mon message mollement. J’ai relu une multitude de fois. Ce n’était pas un conte de ma date. C’était une tentative de cerner l’endroit où je bloquais. J’ai décrit l’ambivalence dans auxquels je me trouvais. Une rapport qui n’en était plus une, mais qui continuait d’exister dans mon logique. Un destin activité professionnelle qui se dessinait, mais dans lesquelles je ne trouvais pas ma place. J’ai posé ma point sans amasser à obtenir une prédiction. J’ai évoqué un regard. Puis j’ai envoyé. Je n’attendais pas un miracle. Je savais que je n’allais pas accueillir une réponse qui allait tout attiédir. Mais ce que j’espérais, c’était une voyance. Une touche de faire savoir quelque chose que je n’arrivais plus à explorer. Et c’est ce que j’ai offert. La objection est arrivée deux occasions ensuite. Un message dense, sans pouvoir être chargé. Une parole nette, structurée, respectueuse. Ce n’était pas un discours. Ce n’était pas un nombre de projections. C’était une guidance de les circonstances. Ce que je portais. Ce que je retenais. Ce que je projetais sur l’autre. Ce que j’avais coriace de voir. En traversant ces signes, je ne me suis pas senti jugé. Je ne me suis pas senti dirigé. J’ai eu le sentiment d’être rejoint là où je me trouvais. Et ça, dans certaines personnes épisodes, c’est tout ce qu’il est préférable de faire.

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